Pleurer dans son sommeil : comprendre les larmes nocturnes et retrouver un repos apaisé

Pleurer dans son sommeil : nos conseils

Pleurer dans son sommeil, vous avez déjà connu ça ? Oui, ce moment étrange où vos yeux font la java pendant que vous, en principe, êtes censé compter les moutons, pas les kleenex.

Vous n’êtes pas le seul à vous être réveillé avec une petite croûte saline sur la joue.

Promis, dans cet article, je vous explique d’où viennent ces larmes nocturnes, ce qu’elles disent de votre santé mentale ou physique, tout en vous livrant quelques astuces pour retrouver un repos non-stop, sans déluge sous la couette.

Pleurer dans son sommeil : qu’est-ce qui se passe dans votre lit ?

Entre nous, ce serait plus logique de fondre en larmes devant un film cucul qu’en pleine nuit.

Mais sachez-le : pleurer la nuit, ça fait partie des joies du pack « humain ».

Parmi les causes fréquentes, on retrouve : le stress de la journée, certains troubles du sommeil ou, pour les plus chanceux, des rêves qui ressemblent à une rediffusion de votre pire saga familiale.

Certains enfants pleurent en dormant, mais chez l’adulte, le phénomène est moins courant — quoique, si vous lisez ceci, vous n’êtes pas tout seul !

Que vous fassiez des cauchemars, que vous viviez un deuil difficile ou que le chat du voisin miaule sous votre fenêtre, pleurer dans son sommeil peut signaler que votre cerveau traite quelques patates chaudes émotionnelles.

Une étude « Sleep and affective disorders: a double-edged sword » (Neuropsychiatric Disease and Treatment, 2014) montre que les personnes sujettes aux troubles anxieux ou dépressifs font plus souvent l’expérience d’émotions fortes, dont les pleurs, pendant leur sommeil paradoxal.

Ça ne veut pas dire que tout le monde qui pleure dans son sommeil souffre de dépression, hein ! Mais cela peut être un signe que vos émotions cherchent la sortie de secours — et comme la porte est fermée pendant la journée, elles prennent le tunnel de la nuit.

Conseils pour éviter de pleurer la nuit (et ménager vos oreillers !)

Rassurez-vous, on ne va pas vous conseiller d’étouffer vos émotions sous un oreiller.

Mais quelques bons réflexes peuvent éviter les larmes nocturnes trop fréquentes.

D’abord, notez vos rêves ou cauchemars au réveil — ça aide à prendre du recul.

Si vous traversez des moments difficiles (deuil, séparation), offrez-vous un espace pour vider votre sac en journée : écrire, parler à un ami, consulter un professionnel, ou simplement crier « Aïe, ça pique ! » sous la douche — tout est permis (retenez juste les cris pour la plage ou les films d’horreur, si vous vivez en immeuble).

Un rituel du soir apaisant fait aussi des miracles sur le sommeil : lecture légère, respiration profonde, diffusion d’huile essentielle de lavande (attention, le chat n’aime pas), ou tout simplement rituels qui font du bien.

Si les pleurs sont accompagnés de somnambulisme, de paralysies nocturnes ou d’insomnie sévère, mieux vaut consulter un professionnel du sommeil (et lui raconter vos aventures, ils raffolent des histoires de matelas rebelles).

N’oubliez pas que l’environnement joue ! Un matelas confortable, une température douce dans la chambre et une hygiène du sommeil digne d’une pub pour oreillers vont réduire le stress nocturne et peut-être, vos nuits en eaux troubles.

Dans tous les cas, pleurer dans son sommeil n’est pas une honte ni une anomalie, c’est votre corps qui rappelle qu’il sait faire sortir les émotions, même sans allumer la lumière.

Pleurer dans son sommeil : que retenir de tout ça ?

Vous voilà armé pour dédramatiser les larmes nocturnes.

Pleurer dans son sommeil, c’est parfois juste un trop-plein qui déborde — comme une rage de chocolat un soir de rupture.

Gardez à l’esprit que si les épisodes deviennent trop fréquents ou vous perturbent, un petit coup de fil à un spécialiste du sommeil peut vous éviter de finir avec un matelas en détresse émotionnelle.

Vous avez déjà réveillé le chat, le doudou ou le conjoint avec vos sanglots de la nuit ? Partagez vos anecdotes en commentaire (qu’on rigole ou qu’on compatisse, c’est selon !).

Et tant qu’à faire, partagez l’article à vos amis qui ont déjà trouvé des traces de mascara sur leur oreiller… même en dormant !

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